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Communiqué de presse
21 déc 2018
des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Inserm, l’Inra, le CNRS et l’Institut Weizmann des Sciences d’Israël, viennent de mettre en évidence chez la bactérie Listeria monocytogenes un mécanisme de résistance totalement inédit. En effet, en présence d’antibiotiques qui ciblent les ribosomes et bloquent la synthèse protéique, ces bactéries sont capables de scinder en deux leurs ribosomes afin de relancer la production de protéines. Un mécanisme rendu possible grâce à l’expression du gène hflXr.
Un programme collaboratif français mené par des médecins regroupés au sein de l’AP-HP à l’hôpital La Pitié-Salpêtrière et à l’hôpital Saint-Louis, associant des chercheurs de Sorbonne Université, de l’Université Paris Diderot de l’Inserm, de l’Inra met en évidence la présence d’anticorps circulants dirigés contre le microbiote intestinal. Les chercheurs montrent pour la première fois que le microbiote des sujets sains n’est pas tenu à l’écart des anticorps circulants dans le sang par la barrière intestinale. Bien au contraire, certains anticorps IgG du sang reconnaissent aussi bien le microbiote que les anticorps IgA digestifs. La réponse IgG est augmentée chez certains patients déficitaires en IgA, et ces IgG pourraient donc être utilisés dans le cadre de transfert passif d’anticorps au pouvoir anti-microbien renforcé.
18 déc 2018
Fruit d’une collaboration riche depuis plusieurs années entre des équipes de recherche canadiennes et françaises, treize partenaires institutionnels, provenant du Canada et de la France, dont l’Université Laval, l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), fondent aujourd’hui le Réseau de Recherche International intitulé Nutrition and brain health, from predictive biology to disease prevention and treatment - Food4BrainHealth.
17 déc 2018
Une étude menée par le CHU de Besançon et l’Inra met en évidence l’intérêt d’une alimentation riche en fromage dès le plus jeune âge.
12 déc 2018
Un régime alimentaire à base de maïs transgénique MON 810 ou NK603 n’affecte pas la santé et le métabolisme des rats dans les conditions du projet GMO 90+. Cette étude inédite réalisée par un consortium de recherche piloté par l’Inra implique de nombreux partenaires2 dont l’Inserm. Les travaux ont été réalisés dans le cadre du programme Risk’OGM financé par le Ministère de la transition écologique et solidaire.
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