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Banc de glassfish en mer rouge.. © Fotolia, serg_dibrova

Article

15 déc 2012

Ouvrez le banc !

Biologie animale

La structure interne des bancs de poissons est caractéristique de l'espèce.

Clonage chez le bovin. Embryon en cours de reconstitution par micromanipulation, ovule énucléé avant greffe d'une cellule contenant le noyau

Article

15 déc 2012

La reprogrammation du noyau : une affaire de cytoplasme

Mécanismes du vivant

Mieux comprendre la reprogram­mation nucléaire et le développement embryonnaire précoce : trois questions à Jean-Paul Renard...

Sphère végétalisée de l'Inra de Versailles. © inra, NICOLAS Bertrand

Article

15 déc 2012

Trois hommes et une sphère végétalisée

Biologie végétale

La sphère végétalisée du centre Inra de Versailles : art et haute technicité en biologie végétale...

Coupe d'intestin humain au niveau de son épithélium. L'intestin chez l'homme est très dynamique et se renouvelle constamment en surface. Ce mécanisme prend naissance au niveau de cellules souches, situées à la base des replis de l'intestin (cellules de couleur marron) , qui progressent vers la surface pour remplacer les plus anciennes (zone bleue-gris clair de surface). L'intestin se remet ainsi à neuf en l'espace d'une semaine pour garantir au quotidien son efficacité dans son rôle de filtre, faisant barrière aux intrus tout en permettant l'absorption des nutriments et de l'eau.. © © INRA, CARTIER Christel

Article

05 déc 2012

Un probiotique toxique pour les cellules intestinales

Mécanismes du vivant

Des chercheurs de l’INRA ont montré qu'un probiotique produit une substance potentiellement toxique pour l’ADN des cellules intestinales.

Particules d'orbivirus observées en MICROSCOPIE électronique. C'est l'agent pathogène à l'origine de maladies infectieuses en élevage (maladie de la langue bleue ou fièvre catarrhale ovine).. © © INRA, INRA

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05 déc 2012

Epidémie de fièvre catarrhale ovine en France : plus rapide que l'insecte vecteur

Biologie animale

Une modélisation de la vitesse de propagation de l'épidémie de fièvre catarrhale ovine, qui s'est produite en France en 2007-2008, montre que la maladie s'est propagée plus rapidement que ne le fait l'insecte vecteur. D'autres facteurs, tel que le vent ou les déplacements d'animaux peuvent expliquer cette dynamique de dispersion.